Athlétisme- Kenya : le CNO et le dopage

©Photo d'illustration/Diana Kipyokei et Lawrence Cherono, tous deux anciens vainqueurs du marathon de Boston, font partie des athlètes Kenyans suspendus

Le Comité national olympique (CNO) Kenyan a intensifié sa sensibilisation contre l’usage des produits dopants dans le milieu de l’athlétisme pour éviter une éventuelle suspension.

En plus du gouvernement Kényan qui a fait la promesse de faire davantage pour lutter contre l’usage des stupéfiants dans le milieu de sport et notamment dans le secteur de l’athlétisme.

Le Comité National Olympique du Kenya (CNO-K) a intensifié ses efforts pour aider les athlètes à se séparer des drogues car le pays veut éviter une potentielle suspension.

Pour ça, le CNO-Kényan et Athletics Kenya travaillent avec des professionnels de la santé du pays pour voir quelles mesures antidopage mettre en place dans le sport.

Ce travail a été fait avec l’Agence mondiale antidopage et l’ADAK afin d’actualiser la liste des produits interdits par l’AMA et ceux autorisés uniquement à des fins thérapeutiques.

A ce jour, au moins 55 athlètes kényans ont été suspendus par l’Unité d’intégrité de l’athlétisme (AIU).

Huit autres attendent d’être fixés sur leur sort après avoir été provisoirement suspendus par l’AIU.

Le Kenya est l’un des sept pays de « catégorie A » considérés par l’AIU comme présentant le risque de dopage le plus élevé au point de menacer l’intégrité globale du sport.

Pour rappel, Diana Kipyokei et Lawrence Cherono, tous deux anciens vainqueurs du marathon de Boston, font partie des athlètes kenyans de haut niveau actuellement suspendus.

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