Athlétisme – Kenya : Deux nouvelles suspensions pour dopage

© Photo d'illustration/les athlètes Kényans Ibrahim Mukunga Wachira et Kenneth Kiprop Renju qui ont été suspendus provisoirement suspendus pour dopage

Deux nouveaux athlètes Kényans ont été suspendus par l’Athletes Integrity Unit (AIU), l’organisme formé par World Athletics pour dopage.

Il s’agit d’Ibrahim Mukunga Wachira et Kenneth Kiprop Renju qui ont été suspendus provisoirement ce mardi pour usage de substances interdites.

Ibrahim Mukunga, vainqueur du semi-marathon d’Estonie en 2017, a été suspendu pour avoir utilisé du norandrostérone, une substance interdite, tandis Kenneth Kiprop Renju a été testé positif à la méthastérone.

La suspension des deux athlètes intervient seulement quatre jours après que la championne du marathon de Boston 2021, Diana Kipyokei et sa compatriote Betty Wilson Lempus ont été suspendues également pour dopage.

La suspension de Kipyokei et Lempus est intervenue seulement trois jours après que les marathoniens kenyans Mark Kangogo et Philemon Kacheran aient été interdits pour dopage.

Philemon Kacheran, banni pour trois ans la semaine dernière, a été écarté de l’équipe du Kenya lors des jeux du Commonwealth à Birmingham organisés du 28 juillet au 8 août dernier.

Trois autres Kenyans ont été interdits de participation aux Jeux du Commonwealth pour cause de dopage.

Il s’agissait des marathoniennes Stella Barsosio, Changwony et de la coureuse de 1 500 m Kumari Taki.

La suspension de Kacheran est intervenue six jours après que son compatriote Lawrence Cherono, champion du marathon de Chicago et de Boston en 2019, a été empêché de participer aux Championnats du monde d’athlétisme en Oregon, également pour dopage.

Près de 30 athlètes kenyans ont été arrêtés pour diverses infractions de dopage. La liste pourrait s’allonger puisque d’autres cas qui n’ont pas encore été révélés se trouvent à l’Agence antidopage du Kenya (ADAK).

En 2016, le pays a été placé dans la catégorie A de la liste de surveillance de la conformité de l’Agence mondiale antidopage (AMA).

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